En huit de pouvoir, l e plus jeune président de la 5ème République a mis la jeunesse à genoux.
Depuis 2017, le coût de la vie étudiante a grimpé de 32%. Les dispositifs d’aide, qu’il s’agisse des bourses du logement, de la nourriture sont laissés à l’abandon.
Le terreau de cette politique est fertile depuis longtemps. Depuis 1969 une année entière a été perdue rien qu’en primaire et qui plus est décidée par ceux-là mêmes qui aboient à la baisse de niveau.
Au fil des ans, l’école est réduite à la misère par les promoteurs d’une éducation ravalée au rang de produit marchand.
Du bac réformé à la sauce Blanquer à Parcoursup, c’est le règne des inégalités et des injustices où seuls les meilleurs sont reconnus, les autres sont à dégager.
Oui la jeunesse va mal, tous les indicateurs de santé mentale sont au rouge. A Sète, le dernier rapport présenté sur la santé mentale sur notre ville est catastrophique.
Pourtant ce sont les jeunes qui s’engagent dans de multiples actions de solidarité, et notamment auprès de ceux qui n’arrivent plus à se nourrir. Ce sont eux qui soutiennent massivement le peuple palestinien ce sont eux aussi qui montrent sur Internet une créativité qui échappe aux adultes
Pour la gauche le défi est grand : Faire la preuve auprès de cette génération qu’elle a d’autres perspectives à lui proposer.
Section de Sète du PCF