Pas sûr que cela suffise à faire taire la colère légitime de ceux qui sur les barrages ont fait de la question du revenu la priorité et mis au pilori le libre-échange qui sacrifie l’agriculture au bénéfice de l’agro-business.
Car ce qui s’annonce n’est pas la fin d’une crise, mais une fuite en avant irresponsable dans ce système qui paupérise la paysannerie, compresse les salaires des travailleurs, étouffe la biodiversité, aggrave la malnutrition et dégrade la santé.
Pas sûr que les paysans l’acceptent.
Section PCF de Sète