« Il faudra bien faire le bilan de toutes ces horreurs », c’est en ces termes que s’exprime une équipe de santé qui a passé plusieurs semaines dans l’enclave palestinienne.
Aux blessés de la guerre, il convient d’ajouter les pathologies chroniques ou les traitements longs qui ne sont plus assurés. Ce qui pose la question de la perpétration du travail de l’Office des Nations Unies pour les Réfugiés Palestiniens UNRWA) menacé de stopper ses activités par manque de financement après la décision d’un certain nombre de pays, dont les Etats-Unis et la France de suspendre leur contribution financière.
« Si vous arrêtez le seul système qui aide, vous condamnez à mort ces populations, on est dans une volonté de génocide » déclarent les médecins français.
Section PCF de Sète