Saint-Brevin : Victime d’un attentat de l’extrême droite en mars 2023, dans le cadre du déplacement d’un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, le maire de Saint-Brevin démissionne et quitte la ville.
Les grands médias depuis plusieurs jours tentent une diversion en cataloguant ce fait comme une violence de plus envers les élus. Victimes d’incivilités de citoyens irascibles.
Les menaces depuis le mois de mars, comme l’incendie de sa maison et des voitures du maire de Saint-Brevin n’ont rien à voir avec une quelconque incivilité, il s’agit d’un passage à l’acte d’activistes d’extrême droite, que le gouvernement refuse de combattre, comme le démontre le laisser faire, des manifestations pro nazi dernièrement à Paris.
Menacé depuis des mois, le maire s’est vu refuser les protections policières qu’il a sollicitées, ni la ministre Monsieur Darmanin, et encore moins le président Macron, n’ont pris la peine de se pencher sur cette situation. Ni l’Etat, ni les services de police ou la justice n’ont bougé le petit doigt alors que le déplacement du CADA (Centre d’Accueil pour Demandeurs d’Asile) est d’abord un projet de l’Etat.
Section PCF de Sète