Un an après son arrivée à la tête de l’Italie, la présidente du conseil présente un maigre bilan.
Seul domaine dans lequel Giorgia Meloni avance résolument, c’est celui de la Mémoire collective.
La dirigeante post fasciste s’attelle à réhabiliter les bourreaux mussoliniens pour en faire des victimes, et ce avec l’aveugle passivité du Sénat.
Pendant ce temps, les post fascistes italiens ont multiplié par décret les entraves pour les navires de ONG qui font du sauvetage en Méditerranée, détricoté les textes sur le droit d’asile, multiplié les menaces contre les femmes et le droit à l’avortement, coupé les vivres au plus pauvres et aux allocataires du revenu de citoyenneté. Quant aux promesses de taxer les superprofits des banques, le projet a fait flop !
L’extrême droite, nostalgique du fascisme au pouvoir en Italie, est aujourd’hui le meilleur atout pour l’ultra capitalisme, et à la veille des élections européennes, Giorgia Meloni, est l’héritière autoproclamée de Margaret Thatcher.
Section PCF de Sète